Se préparer à la rencontre
« Il nous faut adopter l’état d’esprit d’apprenants»
Jean-Pierre Bonnet,
directeur diocésain
d’Orléans-Bourges
« La démarche prospective est l’occasion de beaucoup de questions. Au niveau académique d’abord, quelle organisation du maillage en territoire rural ? Quid de l’absence de l’Enseignement catholique sur certains territoires ? Quelle proposition alternative pouvons-nous faire ? Des interrogations qui restent aujourd’hui en suspens. Les volontés sont là mais nous vivons un moment de flottement. La journée du 11 janvier va relancer une dynamique dont nous avons besoin. Les équipes qui seront du voyage sont constituées. Il faut maintenant que nous changions de paradigme et que nous adoptions l’état d’esprit d’apprenant. Il est évident que l’équipe du 11 janvier, sorte d’équipe stratégique, fera un compte rendu à son retour aux équipes restées chez nous.
A l’échelle diocésaine, nous avons réalisé une démarche parallèle à la démarche prospective. Pour Orléans-Bourges, nous avons mis en place un « festilab ». Cela a abouti à l’installation de plusieurs laboratoires. Le premier sur les ressources humaines, l’autre sur l’éducation à la santé, et le dernier sur le schéma organisationnel.
« S’investir pour ceux à Paris
comme ceux qui
suivront à distance»
Aurélie Stein,
directrice diocésaine de Saint-Dié
Depuis la rentrée de septembre, nous travaillons avec les chefs d’établissement pour cette journée du 11 janvier. J’ai vraiment senti la nécessité de créer un réseau avec les chefs d’établissement pour répondre aux différents besoins, mutualiser les projets… Nous avons créé un groupe de travail vosgien et des groupes de réflexion.
Nous travaillons aussi sur la Prospective avec une interrogation sur nos priorités du 11 janvier. Il s’agit de s’investir autant pour ceux qui seront présents à Paris que ceux qui suivront à distance.
J’aimerais mettre en place un rendez-vous local avec les chargés de mission et les chefs d’établissement.